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    Le jour parfait pour les femmes :

    08.15: Être réveillé avec des câlins et des bisous
    08.30: Peser 2 Kilos de moins que la veille
    08.45: Petit déjeuner au lit avec jus d'oranges pressées thé et croissants
    09.00: Ouverture des cadeaux (par exemple: bijoux très chers)
    09.15: Prendre un bain très chaud avec des huiles senteur vanille
    10.00: Légère gymnastique au club de fitness avec son entraineur personnel un mec magnifique et plein d'humour)
    10.30: Soin du visage, manucure, shampooing et conditionner à laisser 10 minutes, rinçage, sèche-cheveux
    12.00: Déjeuner à midi avec la meilleure copine dans un resto hyper en vogue
    12.45: Espionner l'ex de son mec et découvrir qu'elle a pris 7 kg

    13.00: Faire du shopping avec des copines, crédit illimité

    15.00: Sieste
    16.00: Livraison de trois douzaines de roses accompagnées d'une carte signée par un admirateur secret
    16.15: Massage au club de fitness, fait par un mec très musclé et super sympa qui raconte qu'il a rarement massé un corps si parfait.
    17.30: Essayage de la nouvelle collection d'un créateur de haute-couture, faire un défilé de mode devant l'énorme miroir de sa boutique
    19.30: Dîner aux chandelles pour 2 personnes, musique et compliments
    22.00: Douche chaude (seule)
    22:50: Être portée jusqu'au lit (draps frais et repassées)
    23.00: Câlins +++
    23.15: S'endormir dans ses bras musclés.

    Le jour parfait pour les hommes:

    06.00 Le réveil sonne
    06.15 Turlutte
    06.30 Gros caca qui soulage tout en lisant l'ÉQUIPE
    11.45 Déjeuner: MacDo, 3 Bières,
    18.45 Prendre sa douche, se raser
    21.00 Regarder le foot devant un énorme écran de télé, la France bat l'Angleterre 11 à 0.
    23..30 Turlutte pour bien dormir
     

    23.50 Faire un pet de 12 secondes qui change 4 fois de ton et qui oblige le chien à quitter la chambre.


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  • J'apprends que les océans sont plus acides ce qui nuit à la vie du plancton (et non au planqué). Que mangera la baleine ?

    J'apprends que les effets du CO2 vont être plus dévastateurs et brutaux que notre souvenir du champs vert.

    J'apprends que Maupassant est mort "fou".

    Et pour finir cette semaine, j'apprends que nous sommes "VENDREDI 13" (...chéri, je ne trouve plus la tronçonneuse...).

    Et encore pour finir, on m'envoie ce texte de Fred Vargas qui bouscule mes neuronnes...Quoi ? :

    "Nous y sommes !

      Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les
      hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes.   
      Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire
      avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal.
      Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités
      d'insouciance.   
      Nous avons chanté, dansé.
      Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que
      le reste était à la peine.
      Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos
      pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois
      voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du
      bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les
      nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche,
      nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie,
      créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.
      On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles : faire
      fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées
      sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des
      espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets
      radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
      Franchement on s'est marrés.
      Franchement on a bien profité.
      Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus
      rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de
      biner des pommes de terre.   
      Certes.   
      Mais nous y sommes.   
      A la Troisième Révolution.
      Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution
      néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne
      l'a pas choisie.
      « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? »
      demanderont quelques esprits réticents et chagrins.
      Oui.
      On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas
      demandé notre avis.   
      C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement
      laissés jouer avec elle depuis des décennies.
      La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.   
      De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.
      Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec
      moi (à l'exception des fourmis et des araignées   
      qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées
      sur la danse).
      Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
      Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix,   
      On s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés
      et honteux.
      D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser
      encore avec la croissance.
      Peine perdue.
      Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.
      Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa
      voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en
      partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises
      à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes,
      en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon
      là où il est,  attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce
      charbon tranquille  récupérer le crottin, pisser dans les champs
      (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines,
      on s'est quand même bien marrés).    S'efforcer. Réfléchir, même.
      Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être
      solidaire.    Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.
      Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
      Pas d'échappatoire, allons-y.
      Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui
      l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.
      Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas
      incompatible.
      A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le
      retour de la barbarie une autre des grandes spécialités de l'homme,
      sa plus aboutie peut être.
      A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
      A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons
      encore. "


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    Un Juif se rend avec son épouse à l'hôtel Beau-Rivage, a Genève.
    Il y passe trois jours et trois nuits. Au moment de repartir,
    il tique en voyant la note :

    - 3000 francs suisses, plus 900 francs (suisses, toujours) pour les repas.
    - Comment ! S'exclame-t-il, Vous me demandez une somme pareille pour les repas?
    - Mais je n'y ai même pas touché, à votre nourriture ! Je n'ai rien mangé !
     Votre nourriture n'est même pas Kasher.

    - Rien à faire ! répond le gérant. La nourriture était à votre disposition,
    et si vous n'y avez pas touché, cela vous regarde ! Vous nous devez 3900 francs !

    Le Juif réfléchit un moment.

    - D'accord! finit-il par répondre. Mais maintenant,
    c'est vous qui me devez 2100 francs !

     - Comment ? demande le gérant.

    - Je vous paye les 3900 francs, mais vous, vous m'en devez 6000,
    parce que trois nuits de suite, vous avez couché avec ma femme !
    Je compte 2000 francs par nuit, parce que je l'aime beaucoup.
    6000 francs moins 3900, ça fait 2100 ! Vous savez compter, non ?

    - Mais... Je n'ai pas couché avec votre femme ! balbutie le gérant.

    - C'est votre problème ! Ma femme était là, à votre disposition,
    et si vous ne l'avez pas touchée, cela vous regarde .


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    Il est temps de préparer l'arrivée du Printemps

    Il faut aussi penser à nourir les dinosaures


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